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lundi 8 avril 2013

Historique de la lexicographie

La lexicographie est née avant la lexicologie, il y a des traces de cette discipline dans l’antiquité : présence des listes des mots qui appartiennent à des civilisations très anciennes telles que la civilisation égyptienne. Le premier ouvrage lexicographique était bilingue avec une entré toujours latine et un sens en Français, avant c’était des ouvrage monolingue, c’est à dire l’entré et le sens en latin : le latin c’était la langue de l’église et de l’état.
Les dictionnaires étaient présentés sous forme de liste et ordonnés selon les thèmes qui dominait.L’explication était rare. Cette présentation a duré jusqu’à le 11ième sicèle.
le 11 siècle à connu, avec l’italien Papias l’apparition du premier ouvrage ordonné selon l’alphabet.  Cet ouvrage comprend des mots latins traduits et parfois commentés, mais rarement définis. Le livre de Papias a été réécrit à plusieurs vu le succès connu. En 1476 ce dernier sera imprimé vu l’invention de l’imprimerie.
Au 16 siècle, la lexicographie a connu une progression surtout dans le contexte de l’humanisme. François 1ier  encourage les arts et les sciences pour affaiblir l’église. A cette époque il avait une grande production des dictionnaires ce qui évoquera la révolte de l’église.
En 1531 et grâce à Robert Estienne apparait le premier ouvrage bilingue qui s’intitule Thesaurus ce qui donnera lieu à une lexicographie plus soucieuse de rigueur. Puis en 1538 Dictionarium Latinogallicum, a été publié et c’était un dictionnaire destiné aux étudiants. Dictionarium Latinogallicum se distingue par une lisibilité et une typographie amélioré par rapport à Thesaurus. Cet ouvrage a une entrée latine, une traduction en Français et une éventuelle citation. Puis Robert Estienne  fait paraître le Dictionnaire françoislatin qui donne une importance capitale pour le lexique Français. Ce dictionnaire avait une entré française. L’apparition de ce dictionnaire s’est coïncidé avec l’année 1539  qui est symbole de l’officialisation de la langue française par François 1ier à Villers-Cotterêts. De ce fait l’usage de la langue vulgaire est obligatoire dans la rédaction de ce qui est administratif et juridique.

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